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 Chapitre 1 - OS

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AuteurMessage
SoSweetySoCrazy•
SoSweetySoCrazy

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Chapitre 1 - OS _
MessageSujet: Chapitre 1 - OS   Chapitre 1 - OS EmptyLun 30 Avr - 16:29

Sex on the phone contest

Titre : My Brand of Heroin

Personnages choisis : Edward et Bella

Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à Stephenie Meyer et l'OS est inspiré d'une histoire de Jasmine Haynes.
Concours organisé par le forum Damn Addict Lemon.


La fin de ce vendredi arrivait à grand pas. Je n'en pouvais plus de cette semaine interminable. Je travaillais dans une grande maison d'édition et comme chaque fin d'année les futurs best-sellers s'entassaient dans mon bureau. Je croulais sous la masse énorme de travail à effectuer.

- Alice, franchement je n'ai pas trop le temps là. C'est d'accord pour demain soir, mais si tu pouvais t'abstenir d'inviter une connaissance de Jasper, je t'en serai très reconnaissante.

La tête légèrement penchée pour coincer mon téléphone entre mon oreille et mon épaule, je me détendis quelques instants en envoyant mes talons à l'autre bout de la pièce.

J'en profitai pour poser mes pieds sur la petite table derrière moi pour faire face à toute la baie de San Francisco.

- Je croyais que Jacob te plaisait pourtant. Soupira Alice, ma sœur jumelle.

- Il est trop beau pour être vrai, ça cache quelque chose. Et puis en plus il est trop petit.

Et dépourvu de sens de l'humour. Ce type était d'un ennui à mourir et il n'avait pas desserré la mâchoire de toute la soirée qu'on avait passée ensemble.

- T'es pas marrante, Bella. Et Paul ?

- J'aime pas les gorilles. T'as pas vu comment il est poilu ? Beurk ! Ecoute si c'est pour essayer de me caser à chaque fois avec un mec qui n'est pas pour moi, laisse tomber. J'assume parfaitement mon célibat.

- Un jour, tu trouveras quelqu'un qui va te dompter petite sœur et ce jour-là, je me marrerai bien. Plaisanta Alice.

- Pfff, tu n'es plus vieille que de quelques minutes je te signale. Bon qu'est-ce que j'amène ?

- Juste toi chérie. A demain. Je t'aime. Bisous.

Alice raccrocha aussitôt. Ma sœur était mariée à Jasper depuis 5 ans maintenant. Nous étions de fausses jumelles. Le plus marrant était que nous étions en totale opposition. Alice était une petite brune excitée comme une puce et moi j'étais châtain et très réservée. Mon travail me réduisait depuis quelques temps au célibat. Et puis toutes les tentatives d'Alice pour me caser restaient vaines.

Ma dernière relation avait été tellement douloureuse que désormais tous les hommes me paraissaient fades. Du coup, je m'étais lancée dans mon travail à corps perdu. Plus rien ne semblait m'exciter. Même pas le sexe. Pourtant lorsque je rencontrais quelqu'un et qu'on finissait par coucher ensemble, c'était toujours agréable mais à vrai dire je préférais mon vibromasseur. C'était un outil efficace qui ne prenait pas de place, me faisait me sentir bien et ne risquait jamais de me décevoir. De plus, on pouvait l'utiliser à volonté, c'était encore mieux qu'un homme.

Pourtant une seule chose parvenait encore à m'exciter, mon petit péché mignon et j'en avais grandement besoin après ma conversation avec Alice.

Il me fallait donc ma dose, je fermai ma porte à clé pour ne pas être dérangée. Je pris mon combiné et appelai Edward Cullen, mon addiction personnelle.

Je composai le numéro de sa ligne directe.

- Bureau d'Edward Cullen, bonjour. Répondit une voix nasillarde à savoir Jessica, sa stupide assistante.

- Oui bonjour, Isabella Swan à l'appareil, Edward est là ?

- Il est en rendez-vous Mademoiselle Swan. Vous voulez que je vous transfère sur sa boîte vocale ?

- Oui merci.

« Edward, c'est Bella. Tu n'as pas encore viré Jessica à ce que j'ai entendu. Il faut que tu stoppes l'impression McCarthy. Rappelle-moi, c'est urgent s'il te plaît. »

Une fois mon message laissé, j'arpentai la pièce pieds nus. Edward était à la tête d'une grosse imprimerie au Canada et sa société s'occupait depuis des années de tous les ouvrages des éditions où je bossais.

10 minutes plus tard, mon téléphone sonna, je reconnus aussitôt le numéro et mis mon oreillette. La conversation durait en général assez longtemps, je préférais avoir les mains libres quand j'avais Edward au téléphone car il y avait toujours des modifications à faire. J'avais besoin d'utiliser mon ordinateur pour envoyer tout ça par mails.

- Edward, j'espère que tu n'as pas encore imprimé le dernier McCarthy car j'ai des corrections qui viennent de me tomber dessus.

Il resta silencieux un instant.

- Tu portes une culotte ? Demanda-t-il de son doux ténor.

Je ne pus m'empêcher de sourire à sa remarque et me détendis aussitôt.

M'adossant à mon fauteuil, je repliai mes jambes sous moi afin d'être plus à l'aise.

- Non.

Un grognement se fit entendre dans l'appareil.

- Bien. J'annule l'impression mais envoie-moi de suite les corrections, j'avais mis ce livre en priorité comme tu me l'avais demandé alors les autres vont être en attente tant que je n'ai pas les nouvelles pages. Je devrais pouvoir attaquer l'impression demain car c'est trop tard pour aujourd'hui.

- Tu es un amour Edward.

Il était bien plus que ça, il était ma dose d'héroïne, ma drogue personnelle, mon petit paradis.

Cela faisait des années qu'on travaillait ensemble par téléphone mais cela ne faisait que quelques mois que notre relation avait pris un tournant assez particulier.

- Tu portes un soutien-gorge ?

- Non.

J'entendis un bruit métallique, on aurait dit la boucle d'une ceinture, puis le zip d'une fermeture Eclair.

Puis s'ensuivit sa voix suave et rauque. Il avait le pouvoir de me mener au bord de l'orgasme tout en continuant à parler affaires.

- Combien de pages sont à modifier ?

- Une bonne cinquantaine.

- D'accord. Je m'en occupe ce soir.

- Merci Edward.

- Enlève ton chemisier.

- Tu ne veux pas connaître mes nouvelles commandes ?

J'aimais le taquiner dans ces moments.

- Parle-moi d'abord de tes seins. Ils sont durs ?

Je me réinstallai confortablement et allongeai mes jambes sur mon bureau.

Je frottai mes cuisses l'une contre l'autre pour taire le feu qui brûlait déjà dans mon antre.

- Très.

- Hummm j'ai envie de te toucher. Enlève ton chemisier et ta jupe.

Edward devinait toujours mes tenues, c'était instinctif.

- Vous êtes tellement exigeant Monsieur Cullen.

- Oui et tu aimes ça. Enlève.

Il avait raison. J'aimais quand il prenait ce ton dominateur avec moi.

Je n'étais pas du genre à me soumettre mais Edward était mon fantasme vivant alors je cédais volontiers à ses ordres.

Je déboutonnai mon chemisier et fis glisser ma jupe au sol. J'étais ainsi nue et offerte à sa volonté ce qui me fit gémir intensément.

- Mes pointes sont dressées et elles n'attendent plus que toi.

- Fais-les rouler entre ton pouce et ton index.

- Hummm c'est bon…

- Imagine qu'elles sont dans ma bouche. Je pense qu'elles ont un goût sucré.

- Suce-les.

- Tout de suite chérie.

Je pinçai mes pointes durcies de plus en plus fort ce qui m'envoya des décharges électriques.

Je sentais ma cyprine couler le long de ma fente. Je le voulais si fort en moi. Il me rendait folle.

- Je veux te baiser si fort à t'en faire oublier ton nom. Tu sens comme tu es mouillée ma belle ? Rien que pour moi. Je veux toucher ta chatte. Caresse-toi.

- Que veux-tu que je fasse ?

- Je veux que tu écartes les jambes. Que d'une main tu ailles taquiner ton clitoris doucement et de l'autre que tu enfonces deux doigts au plus profond de ta chatte trempée.

- Oh mon dieu. Criai-je.

- Dieu n'a rien à voir là-dedans. Masse ton petit bouton de chair. Imagine que c'est ma langue qui te fait du bien. A quel point tu la veux ?

- Je la veux active et joueuse. Je veux que tu me fasses crier Edward.

- Oh putain, c'est trop bon Bella, ta chatte a un goût de paradis. Tu sais y faire… Ajouta-t-il le souffle erratique.

Je pompai fortement à l'intérieur de mon vagin et malmenai mon clitoris jusqu'à ma délivrance.

Je fermai les yeux et renversai ma tête en arrière.

- Edwaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaard… Gémis-je.

Un silence suivit tandis que je reprenais mon souffle. Mon orgasme m'avait terrassée tellement vite. Il savait comment me faire jouir rapidement et fortement. C'était tellement bon le sexe au téléphone avec Edward, encore mieux qu'avec mon vibro.

- Je suis sûr que tu es magnifique dans ta jouissance ma belle. J'aimerai tellement être là pour te voir.

- Tu as sorti ton sexe ?

- Il est dans ma main chérie. Dur comme le marbre. Réclamant ton attention.

- Imagine que je suis debout devant toi. Je déboutonne ta chemise et je parcours ton torse magnifiquement sculpté de milliers de baisers. Je glisse de plus en plus bas, vers l'objet de mon désir. Tu sens à quel point je te veux ?

- Continue.

- Je prends ta virilité d'une main et fais quelques va-et-vient tout en continuant mes baisers au creux de ton ventre.

- Ta main est tellement douce. Suce-moi.

- Ca vient mon beau. Je me mets à genoux devant toi. Je lèche ton gland du bout de ma langue lentement comme pour savourer une glace. Mon regard ne lâche pas le tien.

Un son guttural presque animal se fit entendre à l'autre bout du fil.

- Encore.

- D'un coup, je t'aspire entièrement dans ma bouche tout en continuant à te caresser de ma langue experte.

Il m'était déjà arrivée d'avoir plusieurs orgasmes lors d'une de ces conversations particulières.

Mais aujourd'hui, je voulais me concentrer sur son plaisir à lui. Il m'avait tellement offert ces derniers mois plus qu'aucun homme ne m'avait jamais donné.

- Je continue de te lécher fortement tout en caressant tes bourses tendrement. Tu aimes ça, chéri ?

- Putain tu vas me faire jouir, femme.

- C'est que je veux Edward. Je veux sentir ton sperme chaud dans ma bouche. Je veux que tu te laisses aller jusqu'à ce que j'ai tout avalé. Oh oui, je sens les prémices de ta délivrance, hummm, tu as un goût délicieux.

Je l'entendis haleter.

- Bella… Gronda-t-il.

Puis toutes sortes d'expressions incompréhensibles sortirent de sa bouche.

J'étais fière de moi car je voulais vraiment lui faire plaisir et apparemment j'avais réussi.

- Tu me rends dingue, Bella. J'ai tellement envie de toi. Même après m'avoir fait jouir comme jamais, je te veux encore à en crever. Je suis toujours dur pour toi.

- Fais-moi l'amour Edward. Je veux te sentir en moi.

- Oh oui bébé, je vais te faire hurler de plaisir. Je te relève et t'embrasse à en perdre haleine. Je te renverse sur ton bureau et te pilonne comme jamais. Tu sens à quel point mon chibre te remplit ? Ta chatte est tellement serrée autour de moi. Tu es incroyable.

Je glissai deux doigts en moi mais je savais très bien que ça ne remplacerait jamais le sexe d'Edward. Je triturai sans relâche mon clitoris pour amplifier les merveilleuses sensations d'imaginer Edward en train de me baiser durement.

Mes hanches se mirent à onduler toutes seules, j'étais proche, bien trop proche…

- Viens pour moi, ma belle, maintenant…

Cela me parut durer des heures, le plaisir montait de plus en plus jusqu'à ce que je sente mes parois se refermer sur mes doigts et que je me retrouve à des années lumières de mon corps.

Ma vue devint floue quelques instants. Je dus ravaler mon hurlement pour ne pas ameuter tout l'immeuble.

A l'autre bout de la ligne, je perçus un « Bella » étouffé, signe qu'il venait également de jouir.

On ne discernait plus que mes soupirs voluptueux et le souffle rauque d'Edward.

C'était encore meilleur que dans mes rêves, plus intense même.

- Bong sang, c'était foutrement bon. Lâcha-t-il une fois sa respiration revenue.

- Merci. Expirai-je le sourire aux lèvres.

- Je prends toujours beaucoup de plaisir à te satisfaire.

Je me demandais comment il se nettoyait après nos conversations ce qui me donna encore envie de me caresser. Edward me rendait totalement nymphomane.

Je pourrais passer des après-midi entières à faire l'amour avec lui au téléphone.

C'était devenu mon addiction.

- Edward, nous devons arrêter ça.

- Tu ne peux pas t'arrêter chérie. Tu es dépendante. Indiqua-t-il.

Il avait raison. Depuis ces derniers mois où on s'adonnait au téléphone rose en plus de notre relation professionnelle, je n'avais jamais été aussi bien.

Je ne pourrais définitivement pas me passer de sa voix.

On ne se connaissait pas, on n'avait jamais éprouvé le besoin de se rencontrer parce qu'on vivait loin l'un de l'autre, lui à Vancouver et moi à San Francisco, et ça m'arrangeait bien.

En dehors de ces séances de sexe intensives, il nous arrivait de nous parler et dans ces moments-là, je me confiais à lui, lui racontais mes petits secrets, j'avais confiance en lui sans jamais l'avoir vu.

Sexe, confiance, éloignement. Notre relation tenait du fantasme et ça me convenait parfaitement.

Je savais très bien que lorsque je voudrais arrêter cette relation, il me suffirait de raccrocher.
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Chapitre 1 - OS

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